mercoledì 9 marzo 2011
Si les magistrats ouvrent la bouche...
Le crime reproché à Borrelli est celui d'avoir lu une déclaration de plus de 20 pages au nom de ses collègues mécontents de modifications opérées récemment, qui touchent leur profession. S'exprimant au nom d'une collectivité le Procureur Borrelli me laisse penser qu'il a assimilé les bases nécessaires à un comportement démocratique, contrairement aux ministres haineux et simplistes dont Berlusconi aime s'entourer. Je considère pour ma part comme particulièrement abjecte et anti-démocratique la politique de l'actuel gouvernement italien, qui cherche à PROMOUVOIR L'INTERET D'UN SEUL: BERLUSCONI, dont on s'agite à présent de garantir l'immunité parlementaire. (16 janvier 2002)
Iscriviti a:
Commenti sul post (Atom)
Nessun commento:
Posta un commento